Volvo XC60 hybride : le parfait compromis ?

Volvo XC60 hybride : le parfait compromis ?
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C’est un terme qui revient souvent lorsqu’on parle de voiture hybride fonctionnant à la fois à l’essence et à l’électricité : “compromis”. En effet, s’il est vrai que le 100% électrique est souhaitable pour l’avenir, il n’y a pas encore de bornes disponibles partout et compenser avec l’essence est souvent nécessaire. Dans cet article, on va ainsi se demander si la Volvo XC60 hybride fait bien ce qu’on attend d’elle.

Un mode “100% électrique” activable en ville, mais aussi en périphérie

C’est l’argument principal des véhicules hybrides : on peut choisir de n’utiliser que le moteur électrique à certains moments pour des raisons écologiques et économiques. Les concepteurs de cette Volvo XV60 hybride ont bien intégré cela puisqu’on peut opter à tout moment pour un mode 100% électrique. On l’activera en particulier en ville comme c’est le cas avec la plupart des SUV de ce type.

Mais ce qui est nouveau, c’est qu’avec l’amélioration de l’autonomie de la batterie, on peut même envisager une conduite sur l’autoroute en n’utilisant que le moteur électrique. En effet, il est théoriquement possible de rouler 60 km sur voie rapide ou encore 40 km sur l’autoroute. C’est évidemment insuffisant si vous souhaitez partir en vacances, mais ça peut largement passer pour un trajet quotidien vers le centre-ville.

Une consommation maitrisée pour un SUV de ce type

Lorsque vous activez le mode de base qui s’appelle tout simplement “Hybrid” avec cette Volvo XC60 hybride, le véhicule va automatiquement alterner entre les deux motorisations pour obtenir une consommation minimale. Grâce à cela, on atteint une moyenne NEDS de 1,8/100 km. Autrement dit, vous libérez approximativement 42 g de CO2/km dans l’atmosphère. 

Si on ne peut évidemment pas atteindre les 0 g du tout électrique, c’est tout de même un sacré progrès par rapport à il y a 10 ans. Nos tests et avis réalisés précédemment sont là pour le prouver d’ailleurs puisqu’on était plutôt autour de 100 g CO2/km à l’époque.

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